Musée dauphinois | «Écorcée», résidence de Simon Augade

Du
1septembre2021
3octobre2022
Musée dauphinois
écorcée

CARTE BLANCHE À SIMON AUGADE
Installations dans le cloître du Musée dauphinois et sur le parvis du musée Arcabas en Chartreuse
D’août 2021 jusqu'en octobre 2022

Du 1er septembre 2021 au 3 octobre 2022.
Ouverture le lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10h à 18h. Le samedi et dimanche de 10h à 19h.
Simon Augade est en résidence de création jusqu'en octobre 2022
Présentation publique samedi 11 décembre à 16h.

Dans le cadre de la saison culturelle L'Appel de la forêt et de l’exposition Amazonie[s], forêt-monde qui ouvrira ses portes le 29 octobre au Musée dauphinois, carte blanche a été donnée à Simon Augade pour investir le cloître de Sainte-Marie d’en-Haut. En résidence de création, il imagine une installation hommage au végétal et au vivant, inspirée des racines échasses que l’on peut voir dans les mangroves. Ici, au cœur de ce bâtiment emblématique de Grenoble, chevrons et dosses de bois suggèrent qu’un temps cette vallée a pu être submergée. Comme cernées par l’architecture, les courbes rappelant les arches du cloître se débattent ou s’adossent contre elles, se posent sur la pierre et (re)plongent dans la terre.
Le gigantisme de ces émergences racinaires évoque l'époque lointaine où le végétal était maître.
Une deuxième création de Simon Augade devrait se découvrir au musée Arcabas en Chartreuse au printemps 2022, comme une résonance au cœur de la Chartreuse de cette relation originelle avec le bois.

Musée dauphinois à Grenoble
Résidence de création d’août à octobre 2021 / Présentation à partir du 28 octobre 2021

Musée Arcabas en Chartreuse à Saint-Hugues-de-Chartreuse
Résidence de création puis présentation au printemps 2022

Diplômé de l’École européenne supérieure d’art de Bretagne, Simon Augade se tourne très vite vers la mise en volume et la sculpture, dans laquelle il s’investit tout entier dans des corps-à-corps, se confrontant à la matière.
Ici, au cœur de ce bâtiment emblématique de Grenoble, à flanc de montagne, presque piégées dans l’architecture, ces racines composées de chevrons et de dosses de bois suggèrent qu’un temps, cette vallée a pu être submergée. Comme cernées par l’architecture, les courbes rappelant les arches du cloître se débattent ou s’adossent contre elles, se posent sur la pierre et (re)plongent dans la terre.Le gigantisme de ces émergences racinaires évoque un temps où le végétal était maître.
Dans le cadre de la saison culturelle "’L'Appel de la forêt" portée par le Département
de l’Isère.